Lois Maxwell
On ne vit que deux fois : Japoniaiserie
On ne vit que deux fois dévie pour la première fois d’un roman de Ian Fleming et accueille Lewis Gilbert à la mise en scène et Roald Dahl, génial auteur mais scénariste débutant pour un opus qui s’égare dans le mauvais goût malgré des enjeux toujours aussi immenses.
Opération Tonnerre : James Bombe
Opération Tonnerre se trouve enfin adapté sous la houlette de Terrence Young, déjà à l’œuvre sur les deux premiers opus de la saga, pour un quatrième opus dense et luxuriant doté d’un budget encore plus conséquent que les trois précédents.
Goldfinger : Desseins dorés
Goldfinger vient après le tendu Bons baisers de Russie ajouter une touche de culte à l’agent 007 en magnifiant sa recette dans un déballage de charme fatal.
Bons baisers de Russie : Train d’enfer
Bons baisers de Russie étend avec brio la mécanique d’orfèvre du premier opus dans un film d’espionnage ambitieux et tendu, et ce jusque dans ses dernières minutes.
James Bond 007 contre Dr No : L’eSseantiel
Avec James Bond 007 contre Dr No, Terrence Young pose les jalons de toute une saga dans un premier opus minéral, qui sans budget se concentre sur l’essence même de son personnage.
Au service secret de sa Majesté : Au cœur de Bond
Au Service secret de sa Majesté voit Georges Lazenby endosser pour une unique fois le personnage de James Bond dans un opus plus réaliste et fidèle au roman de Ian Fleming. Pour un sixième opus plus humain et plus émouvant.
Dangereusement vôtre : One Moore Time
Dangereusement vôtre marque la dernière aventure de Roger Moore dans la peau de James Bond. Si John Glen est une fois de plus à la mise en scène, c’est cette fois pour nous offrir un spectacle en forme d’adieux à la hauteur d’un Bond qui gravit ici des sommets.
Octopussy : Tentacool
Octopussy, premier opus à porter le nom d’un personnage féminin, voit Roger Moore renfiler le costume de James Bond à 55 ans, pour la seconde fois réalisé par John Glen. Pour une mission sympathique mais dénuée de grandeur.
Rien que pour vos yeux : Poudre aux yeux
Rien que pour vos yeux veut dénuer James Bond de ses gadgets pour revenir à ce qui fait le cœur du personnage. Réalisé par John Glen, monteur sur plusieurs autres films de la saga, ce 12ème opus s’avère malheureusement très creux.
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